Les voitures automobiles anciennes et les véhicule anciens de collection, v2.
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Pieper Petroleo electrique, voiture routière de 1900
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La Pieper Petroleo electrique, photo d'époque, cette automobile ancienne fut construite de 1900 à 1902.
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Le premier véhicule de la marque datant de l'été 1897 était un quadricycle électrique assez rudimentaire mais, dès 1899, l'usine produisait notamment des véhicules pétroléo-électriques mis au point par Henry Pieper junior, directeur de l'affaire avec son frère Nicolas depuis la mort du fondateur.
Pieper était le pionnier en Belgique de ce système employé aussi notamment par Lohner-Porsche en Autriche.
Le moteur à essence entraînait une génératrice dont le courant faisait tourner un ou des moteurs électriques propulsant les roues; l'usage d'un système de changement de vitesses par courroies ou engrenages était superflu, en outre, le démarrage du moteur à essence pouvait se faire par l'intermédiaire des moteurs électriques.
Dans les descentes, on récupérait de l'énergie par les moteurs électriques entraînant à leur tour la génératrice qui fournissait du courant aux accumulateurs.
Ce système, séduisant en théorie, était cependant coûteux et ne survécut guère aux progrès du moteur à pétrole.
La Pieper pétroléo-électrique était équipée d'un moteur monocylindre De Dion Bouton d'abord de 3 CV, puis de 3,5 CV et atteignait 30 km/h.
En 1899, l'usine Pieper produisait notamment des véhicules pétroléo-électriques.
- Pieper était le pionnier en Belgique de ce système employé aussi notamment par Lohner-Porsche en Autriche.
- Le moteur à essence entraînait une génératrice dont le courant faisait tourner un ou des moteurs électriques propulsant les roues l'usage d'un système de changement de vitesses par courroies ou engrenages était superflu, en outre, le démarrage du moteur à essence pouvait se faire par l'intermédiaire des moteurs électriques.
- Dans les descentes, on récupérait de l'énergie par les moteurs électriques entraînant à leur tour la génératrice qui fournissait du courant aux accumulateurs.
- Ce système, séduisant en théorie, était cependant coûteux et ne survécut guère aux progrès du moteur à pétrole.
- Parallèlement à ces véhicules, Pieper sortait aussi des voitures purement électriques dont l'autonomie pouvait atteindre 80 km, une telle voiture participa le 3 juillet 1899 au défilé d'automobiles qui eut lieu au Château d'Ardenne.
1900
Pieper exposa ses véhicules dans diverses manifestations internationales comme à Berlin en septembre 1899 où il obtint une médaille d'or et à Paris en 1900 où la marque fut déclarée hors-concours ce qui équivalait à la plus haute distinction.
1901
En 1901, si la fabrication des Pieper types électriques et pétroléo-électriques se poursuivait, les types à essence se développaient; la puissance des moteurs augmenta et les carrosseries se diversifièrent, le type B était équipé d'un moteur monocylindrique de 6 CV et le type C d'un bicylindrique de 8 CV, les carrosseries étaient du type Duc, Duc avec capote, Vis-à-Vis, Tonneau et voiturette de livraison.
Henry Pieper fonda en 1866, une fabrique d'armes, elle devint une des plus importantes usines d'armement de sa région.
- En 1883, Pieper ajouta une section destinée à la construction de matériel électrique, dès 1889, cette section sera transformée en « Compagnie Internationale d'Electricité ».
-Le 18 août 1898, l'affaire se transforma en « Société Anonyme des Etablissements Pieper ».
- Peu avant, Pieper avait décidé de se lancer dans la construction des voitures automobiles.
- Le premier véhicule datant de l'été 1897 c'était un quadricycle électrique.
- En 1899, l'usine produisait notamment des véhicules pétroléo-électriques.
- Le moteur à essence entraînait une génératrice dont le courant faisait tourner un ou des moteurs électriques propulsant les roues, le démarrage du moteur à essence pouvait se faire par l'intermédiaire des moteurs électriques.
- Ce système, séduisant en théorie, était cependant coûteux et ne survécut guère aux progrès du moteur à pétrole.
- Parallèlement à ces véhicules, Pieper sortait aussi des voitures purement électriques dont l'autonomie pouvait atteindre 80 km.
- En 1901, des types électriques et pétroléo-électriques se poursuivait, les types à essence se développaient; le type B était équipé d'un moteur monocylindrique de 6 CV et le type C d'un bicylindrique de 8 CV, du type Duc, Duc avec capote, Vis-à-Vis, Tonneau et voiturette de livraison.
- En 1902, la production des voitures à essence comprenait une deux cylindres 7 CV, des quatre cylindres 12 et 20 CV.
- Cette même année, Pieper construisit aussi des motos dont la transmission s'effectuait par courroies.
- Pieper dut abandonner la construction automobile en 1903.
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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Pieper ", Belgique 1899 - 1903.
Henry Pieper fonda en 1866, à Liège une fabrique d'armes. De proportions modestes au début, elle devint une des plus importantes usines d'armement de la région.
En 1883, Pieper ajouta une section destinée à la construction de matériel électrique qui prendra une telle extension que, dès 1889, cette section sera transformée en « Compagnie Internationale d'Electricité », toujours sous la direction de Henry Pieper.
Le 18 août 1898, l'affaire se transforma en « Société Anonyme des Etablissements Pieper » avec installations à Liège et Nessonvaux.
Peu avant, Pieper avait décidé de se lancer dans la construction des voitures automobiles, le premier véhicule datant de l'été 1897 c'était un quadricycle électrique, dès 1899, l'usine produisait notamment des véhicules pétroléo-électriques.
Pieper était le pionnier en Belgique de ce système employé aussi notamment par Lohner-Porsche en Autriche.
Le moteur à essence entraînait une génératrice dont le courant faisait tourner un ou des moteurs électriques propulsant les roues l'usage d'un système de changement de vitesses par courroies ou engrenages était superflu, en outre, le démarrage du moteur à essence pouvait se faire par l'intermédiaire des moteurs électriques.
Dans les descentes, on récupérait de l'énergie par les moteurs électriques entraînant à leur tour la génératrice qui fournissait du courant aux accumulateurs.
Ce système, séduisant en théorie, était cependant coûteux et ne survécut guère aux progrès du moteur à pétrole.
Parallèlement à ces véhicules, Pieper sortait aussi des voitures purement électriques dont l'autonomie pouvait atteindre 80 km, une telle voiture participa le 3 juillet 1899 au défilé d'automobiles qui eut lieu au Château d'Ardenne.
Pieper exposa ses véhicules dans diverses manifestations internationales comme à Berlin en septembre 1899 où il obtint une médaille d'or et à Paris en 1900 où la marque fut déclarée hors-concours ce qui équivalait à la plus haute distinction.
En 1901, si la fabrication des types électriques et pétroléo-électriques se poursuivait, les types à essence se développaient; la puissance des moteurs augmenta et les carrosseries se diversifièrent, le type B était équipé d'un moteur monocylindrique de 6 CV et le type C d'un bicylindrique de 8 CV, les carrosseries étaient du type Duc, Duc avec capote, Vis-à-Vis, Tonneau et voiturette de livraison.
En 1902, la production des voitures à essence comprenait une deux cylindres 7 CV, des quatre cylindres 12 et 20 CV, les boîtes étaient à engrenages.
Cette gamme fut exposée au Salon de Bruxelles du mois de mars. Cette même année, Pieper construisit aussi des motos dont le cylindre unique était incliné vers l'avant et dont la transmission s'effectuait par courroies.
Cependant Pieper dut abandonner la construction automobile en 1903.
Source : Encyclopédie des voitures, Edita.
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